Re[2] une idée quand même, en réfléchissant un peu ...
Édouard ESKÉNAZI | 31 Mars 2006 (10h04)
Peut-être que si l'arc en bois ne faisait que 5 cm de large, il ne serait pas assez résistant et risquerait de se tordre, voire de se casser: il fait quand même plus de 4m de long (4m ce n'est que la longueur de sa corde) et peut-être qu'un calcul de résistance des matériaux a démontré qu'il fallait 7cm de large pour qu'il soit suffisamment rigide pour ne pas être déformé pendant ses manipulations et le stockage entre deux compétitions. Après tout la planche d'appel de la longueur fait bien 20cm de large, mais elle est beaucoup plus sollicitée car, par définition, on peut s'appuyer dessus, contrairement à l'arc du javelot, sur lequel on ne doit pas marcher. Quant aux stades où l'arc est matérialisé par une ligne peinte sur le sol, il paraît logique que, dans ce cas, ses dimensions ne soient pas différentes de celles de l'arc en bois: si elles étaient différenttes, ça alourdirait encore davantage les règles, car il faudrait donner les deux dimensions différentes dans le manuel.
|
C'est exact.....
Michel MELET | 24 Juin 2009 (11h27)
je fais une réponse en substance. Vous avez déja raison sur ce point de la visibilité,mais c'est dû également à l'évolution justement de cette aire de lancer. A l'origine on lancait sans élan et comme pour le lancer d'autres engins c'était généralement à partir de carrés délimités ( 2m50 de côté)et généralement bordés de madrier ou métal. Puis est venu l'élan autorisé , mais a été gardé la ligne de lancer ( limite) et elle était alors droite et faite d'un madrier. Puis se sont précisées les règles :secteur de chute, et donc précision de la mesure prenant en compte la même référence donc sur un arc cercle(1952) par rapport à un secteur, s'est ajouté dans le temps les définitions techniques du lancer ( tenu à la poignée par exemple), piste d'élan avec nécessité de voir cette limite il a donc été conservé la mesure de largeur de cette limite ( du madrier ou bande métal finalement).
|